Il faisait bien frais ce matin à 8 heures.
Le temps idéal pour saisir quelques images au ras du sol.
Comme une toile d’araignée, la rosée recouvrait les prés, parsemant ses perles brillantes telles des diamants. Le soleil se levait à peine derrière les grands arbres. En quelques enjambées dans les hautes herbes, mes chaussures ont pris l’eau. “Encore des chaussures made in China !”. Ce qu’il y a de bien quand-même avec la macrophotographie, c’est qu’on peut “tournicoter” dans un petit périmètre et qu’il n’est pas nécessaire de faire des kilomètres pour trouver un sujet. Le problème est … qu’il faut sans cesse se coucher, se relever, s’accroupir, se relever, installer un plastique pour ne pas se mouiller entièrement, replier le plastique, le déplier un mètre plus loin, s’allonger à nouveau etc…bon, vous m’avez compris. Donc, je veux dire par là que c’est quand-même du sport. Même si on ne voit pas bien le résultat sur ma personne. Ne pensez pas que je cherchais un prétexte pour rentrer au chaud, mais au bout d’une heure de cette gymnastique, le soleil étant déjà haut, la lumière devenant sans intérêt pour mes images… j’ai rangé mon matériel. La suite est ci-dessous en cliquant sur les images.
Quand je vous dis qu’il sait tout faire … 🙂
très belles tes images , très beau rendus et elles laissent parler l’imaginaire
Mais ce n’est pas du rêve Olivier. La prochaine fois je t’embarque pour une séance macro. Tu verras, quand tu as la truffe au ras du sol, tu vois plein de belles choses à travers l’objectif 😉
Heureusement que tu es là pour nous montrer ce que l’ on ne voit qu’ en rêve !
Moi aussi j’aime bien me coucher dans l’herbe. L’inconvénient c’est que j’ai de plus en plus de mal à me relever. Les escargots sont plus agiles que moi sur le sol 😉
une heure celà te suffit quand même pour réaliser de très belles choses notamment ces torsades dorées que l’on croirait sorties de chez un grand bijoutier.
Oh que j’aime quand tu te couches dans l’herbe…